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Les femmes sont comme les pigeons... On leur met des bagues pour ne pas les perdre - P. Sébastien

par Benissa

publié dans PERSO

Un peu miso la citation vous ne trouvez pas?

C'était juste pour vous donner des nouvelles de la famille de pigeons qui habitent l'arbre devant chez mon fils en région parisienne.

 

Les 2 oeufs ont éclos et on peut apercevoir les deux petits (suivant comment se place la mère...) 

Ils ont une sorte de petit duvet tout blond et se blotissent dans les plumes maternelles. 

Je suppose qu'ils ont du avoir une grande frayeur car les arbres ont été taillés et cela n'a pas été fait dans la dentelle: le bout des branches est complètement déchiqueté! et il reste du feuillage mort et sec accroché dans la frondaison...

Ce qui m'a étonnée, c'est que tout le temps que je les ai observés, je n'ai jamais vu la mère s'envoler pour aller chercher de la nourriture ni le père venir leur en apporter...

Voici les photos que j'ai pu saisir. 

Je me demande où ils seront mi-septembre lorsque j'y retournerai...

 

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M
<br /> <br /> En tout cas ton appareil photo est à la hauteur!!!  (Ils mangent peut-être la nuit)<br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> Pfffttt!!!c'est souvent eux les pigeons!!!rires<br /> <br /> <br /> merveilleuses photos!<br /> <br /> <br /> beezoo ma belle<br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> <br /> une bien jolie animation, BENISSA et une rencontre encore plus charmante encore !!! peut-être que maman allait chercher à manger la nuit ??? je rigole !!!! mais peut-être que elle avait les mêmes<br /> horaires de repas que ..toi !!! MDR LOL bisous<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Là, tu touches la corde sensible, avec de belles images ... Mais il est vrai qu'en ville les pigeons ne sont pas les bienvenus !<br /> <br /> <br /> Quand nous étions enfants,il y en avait à la ferme et quand nous en mangions, il fallait les tuer ... Je revoie mon père qui en tenait un dans chaque main ! Il leur mettait la tête sous l'aile et<br /> les gardait ainsi , mains dans le dos en faisant les cent pas, jusqu'à étouffement . .. Ce n'était pas violent et on se régalait bien Je n'en ai pas gardé de mauvais souvenirs !<br /> <br /> <br /> C'était naturel à la campagne où pour se nourrir, il fallait bien tuer , lapins, chevreau, volailles, cochon ... on ne s'attendrissait pas ... mais on ne tuait pas POUR tuer, ou se défendre de la<br /> pollution ....<br /> <br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> J'ai connu çà aussi chez mon oncle qui avait une ferme en Afrique du Nord. En principe lorsqu'on élève des animaux, on les respècte, tu as raison et on enprend soin même si ou justement parce que<br /> ils sont destinés à la consommation.<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> <br /> quel humour ! belle fin de semaine bisous nath p<br /> <br /> <br /> <br />
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